Jugés par Dieu, l’Histoire et les Hommes : Le cri de la CPI face aux menaces


Dans une salle sobre mais chargée de tension diplomatique, le procureur de la Cour pénale internationale (CPI) s’est levé, droit dans ses bottes, face aux Goliaths du monde. Parmi eux, la Russie. L’intervention était mesurée, mais tranchante comme une lame affûtée par des années de procédure et de principes universels. Et au cœur de ce discours ? Un rappel simple mais percutant : la loi, c’est la loi. Même quand elle dérange.

“Nous ne céderons pas. Que ce soit sous la menace d’un mandat d’arrêt émis contre moi, contre mes collègues ou contre les élus de la CPI, nous continuerons.”
— Extrait du discours du procureur de la CPI

Quand David parle, Goliath écoute… ou menace

La CPI, souvent critiquée pour son manque de moyens ou son prétendu biais géopolitique, se retrouve régulièrement sur le banc des accusés… sans procès. Mais cette fois, ce n’est pas un simple procès fictif que subit l’institution. Des menaces bien réelles pèsent sur ses membres, venant parfois d’États influents. Et c’est là que le parallèle biblique devient pertinent : une petite institution judiciaire, presque fragile, qui ose tenir tête aux mastodontes politiques et militaires de ce monde.

Et ce procureur n’a pas tremblé. Il a rappelé que la CPI n’est pas là pour plaire. Ni pour obéir. Elle est là pour juger. Pour défendre les victimes. Pour faire vivre la Charte des Nations Unies. Une mission aussi noble que risquée.

Jugés par Dieu, par l’Histoire… ou les deux

Le passage le plus marquant ? Celui-ci :

“Nous serons jugés, s’il le faut, par des juges. Mais aussi par DIEU, et par l’Histoire.”

C’est fort. Et rare. À l’heure où la neutralité technocratique domine les institutions internationales, entendre un haut responsable invoquer Dieu et l’Histoire comme juges ultimes, c’est presque choquant. Mais dans le bon sens du terme.

Ce genre de phrase, ça vous cloue sur place. Pas pour des raisons religieuses. Mais parce que ça replace le débat là où il doit être : sur le terrain moral. La CPI ne prétend pas être parfaite. Mais elle prétend, au moins, essayer. Et c’est déjà immense, surtout quand on regarde les entités qu’elle affronte.

Quand la justice internationale devient résistance

Ce discours, c’est plus qu’un plaidoyer. C’est une déclaration de résistance. Une mise en garde élégante mais ferme contre ceux qui voudraient instrumentaliser la justice ou l’ignorer quand elle ne les arrange pas.

Face à ceux qui menacent, intimident ou cherchent à décrédibiliser la CPI, la réponse est claire : le droit ne pliera pas. Ou du moins, pas aujourd’hui.

Et si certains États veulent jouer aux gros bras en violant la Charte des Nations Unies, libre à eux. Mais qu’ils sachent que l’Histoire, elle, a de la mémoire. Et Dieu, pour ceux qui y croient, aussi.


🔚 Conclusion : David, toujours debout

Ce moment de vérité, capté en pleine session diplomatique, restera sans doute comme l’un des discours les plus marquants de l’ère contemporaine de la justice internationale. Non pas pour son ton accusateur, mais pour sa droiture.

Dans un monde où le cynisme règne en maître et où les puissants réécrivent parfois les règles à leur guise, voir David tenir tête à Goliath a quelque chose de profondément rassurant.

Et si l’Histoire le retient, ce ne sera pas pour la peur qu’il aurait eue. Mais pour le courage d’avoir dit non. 🙏⚖️

source : https://www.youtube.com/watch?v=4E8e1ETePIg

Author: namix

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